Ôîðóìû ó Ëèðèêà

[Ñåâåð]

ñîáñòâåííî ñâåðøèëîñü åù¸ ïåðåä íîâûì ãîäîì, ïðîñòî âñå çàáûâàë ïîâåäàòü ìèðó:

ìîëîäîé òàëàíòëèâûé ôðàíöóçñêèé ïåâåö, íå âïîëíå åâðîïåéñêîãî ïðîèñõîæäåíèÿ Âèëëè Äåíçè,ïåðåëîæèë íà ñîâðåìåííûé (àôðèêàíñêèé) ëàä çíàìåíèòóþ ïåñíþ Äæî Äàññåíà "åñëè òåáÿ íå ñòàëî"


áîëåå ïîäðîáíî ñ òâîð÷åñòâîì òàëàíòà ìîæíî ïîçíàêîìèòüñÿ íà åãî ñàéòå.

ïîñëóøàòü îñîâðåìåííåíûé âàðèàíò ïåñíè ñ àôðèêàíñêèì àêöåíòîììîæíî òóò

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òåêñò ïåñíè Äæî Äàññýíà c åãî ñàéòà:

Et si tu n'existait pas,
Dis-moi pourquoi j'existerais.
Pour traîner dans un monde sans toi,
Sans espoir et sans regrets.

Et si tu n'existait pas,
J'essaierais d'inventer l'amour,
Comme un peintre qui voit sous ses doigts
Naître les couleurs du jour.
Et qui n'en revient pas.

Et si tu n'existait pas,
Dis-moi pour qui j'existerais.
Des passantes endormies dans mes bras
Que je n'aimerais jamais.

Et si tu n'existait pas,
Je ne serais qu'un point de plus
Dans ce monde qui vient et qui va,
Je me sentirais perdu,
J'aurais besoin de toi.

Et si tu n'existait pas,
Dis-moi comment j'existerais.
Je pourrais faire semblant d'être moi,
Mais je ne serais pas vrai.

Et si tu n'existait pas,
Je crois que je l'aurais trouvé,
Le secret de la vie, le pourquoi,
Simplement pour te créer
Et pour te regarder.


ñëóøàòü